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Le vieux pont que Charles Quint fit ériger en 1546 fait partie des ouvrages architecturaux les plus anciens de la ville. Il relie les quartiers de Alt-Saarbrücken et de St. Johann.

La basilique à St. Johann, érigée entre 1754 et 1758 par F. J. Stengel et entièrement restaurée, dévoile aujourd’hui toute la splendeur baroque du XVIIIe siècle.

C'est peut-être des remparts du château, qui, lors de la construction de la voie express, ont été reculés de 16 m, que l'on a la plus belle vue sur Sarrebruck.

Avec ses boutiques, ses cafés, ses bistrots et ses restaurants, le marché St. Johann est le cœur de la vie sarrebruckoise.

Édifiée en 1743 par F. J. Stengel, c’est un cadeau que Wilhelm Heinrich fit à sa mère et à l’Église réformée.

Les anciennes habitations d’artisans et d’ouvriers de la Fröschengasse (ruelle des grenouilles) ont été construites en partie contre les anciens remparts de la ville.

Sa cheminée haute de 160 m est visible de loin.

Cette église de style néo-gothique, construite entre 1894 et 1898, est depuis peu un lieu de manifestations et de services religieux en faveur de la paix.

L’église Ludwigskirche, pièce maîtresse d’une architecture de type « place royale », est le couronnement de l’activité créatrice inlassable de l’architecte F. J. Stengel.

L’hôtel de ville de Sarrebruck a été édifié dans le style néo-gothique entre 1897 et 1900 par l’architecte Georg J. von Hauberrisser, à qui l’on doit également les hôtels de ville de Munich et Wiesbaden.

L'existence de Sarrebruck est attestée pour la première fois en 999 sous le nom de "Castellum Sarrabrucca".

La grue de chargement de la Sarre en aval du pont Wilhelm-Heinrich témoigne de l'histoire florissante du commerce de Sarrebruck.

L'église du château, de style gothique flamboyant, date du XVe siècle et a été coiffée d'une tour clocher baroque par F. J. Stengel en 1743.

Il suffit de quelques minutes à pied pour rejoindre St. Arnual, le "village dans la ville", l'un des plus anciens quartiers de Sarrebruck

L'ensemble des édifices baroques encadrant la place du château porte également la signature de F. J. Stengel.

Le bâtiment de l’administration des mines sarroises, anciennement « direction des mines impériales prussiennes »

Le terril "Grühlingstraße" de l'ancienne mine de Jägersfreude documente l'influence de l'exploitation minière sur le paysage et offre aux randonneurs et aux amoureux de la nature une vue panoramique sublime sur la Forêt houillère de la Sarre.